Chouchou's blog

Ce matin, à la messe, la première lecture portait sur le livre de Samuel (3; 1- 10) que je vous invite à aller lire.

Cela fait plusieurs dimanche que je manque la messe, pour diverses raisons. Ce matin levée suffisamment tôt et libre de tout autre engagement, je pouvais m'y rendre sans problème. Toutefois, alors que je n'arrêtais pas de me dire que je pouvais y aller ( au sens possibilité), je ne me bougeais pas pour me préparer et y aller. Pas de motivation, et en même temps je n'arrêtais pas de penser au fait que je n'avais aucune raison de ne pas y aller. Bref, alors que je ne bougeais pas, en revanche j'avais un conflit intérieur.

J'ai laissé passé l'heure de la messe des familles à la cathédrale. Et, à l'heure même où commençait ladite messe, j'ai regretté. Il n'était pas trop tard. Il y a une autre messe, 1h plus tard, dans une petite église encore plus près de chez moi.

Finalement je me suis préparée et suis allée à cette messe.

Le combat a donc été gagné par une force plus forte qui m'a fait me rendre à la messe. Je ne sais pourquoi; ce n'était pas de la culpabilité, ni du désir, rien, il y a quelque chose qui a fait que là j'étais prête et j'y allais. Ca s'est en un sens imposé, mais je ne sais ce qui s'est imposé.

Et, la lecture que je vous citais plus haut a fait écho, d'une autre manière à ce que je venais de vivre. Et à ce que j'ai vécu pour mon baptême.

Dans ce texte de Samuel, le Seigneur appelle plusieurs fois Samuel. Ce dernier, qui ne comprend pas que c'est le Seigneur qui lui parle, va voir Elie, qui à chaque fois lui dit qu'il ne l'a pas appelé. Jusqu'à ce qu'Elie comprenne que Samuel se trompait.

A la différence de Samuel, je ne me trompais pas sur qui m'appelait. Mais, à l'instar de Samuel, il a fallu que le Seigneur m'appelle plusieurs fois avant que je ne vienne à lui, avant que je ne prenne la décision d'aller à la messe ( et, il y a quelques années, avant que je ne prenne la décision de demander le baptême).

Nous sommes tous des Samuel. Le Seigneur nous appelle, et souvent dans notre nuit, à le rejoindre. Doucement et patiemment, comme toujours. Il ne s'impose jamais dans notre vie. Et nous laisse le choix de répondre à cet appel. Mais il est toujours là, au creux de nos coeurs, à nous attendre. Et, s'il le faut, il renouvelle son appel.

Personnellement, que ce soit ce matin ou il y a bientôt 4ans, je n'ai jamais regretté de répondre à ces appels...

Répondons à son appel.

Un film tout simplement sublime, poignant, prenant, engageant.

Le combat jusqu'au-boutiste d'une femme qui croit en la démocratie, en son pays, en l'héritage de valeurs qu'on lui a transmis. Ce film vous transperse, vous transporte également dans cette Birmanie où règnent la junte birmane, la terreur, l'oppression, le mépris de la liberté, mais zussi les rêves de paix, de démocratie, de bien être.

Aung San Suu Kyi, femme extraordinaire, prix Nobel de la paix 1991, donne envie de se battre, de suivre son exemple, d'être courageux; de visiter la Birmanie aussi, autrement, avec les yeux de ce peuple.

Un film que je vous recommande s'il passe encore près de chez vous!

mes-amis

Mes amis, mes emmerdes dit-on.

En ce début d'année, c'est à eux que j'ai envie de rendre hommage. A ces personnes qui font partie de ma vie, qui sont ma vie.

Meilleurs voeux à vous!

C'est dommage, après un beau parcours, les handballeuses échouent sur la 2ème marche du podium. Le match avait bien commencé, et puis finalement la pression fut trop fortes, les norvégiennes aussi...

Malgré tout, un superbe parcours, encore une démonstration de la force du hand.

On peut être fiers de notre équipe de France.

Bravo les filles et encore merci pour ces moments de bonheur! on vous attend au JO!